Conclusion


 

  Et si ce début du XXè siècle était l'aube de l'ère de la décroissance ? Il suffit d'ouvrir les yeux autour de nous pour s'apercevoir qu'un changement est engagé. Les toits des maisons se couvrent de panneaux solaires ; les déchetteries, points de recyclage et de compost  fleurissent un peu partout ; les grandes surfaces proposent de plus en plus de produits "sans" ( exemples : sans paraben, sans colorants, sans OGM, sans huile de palme, sans conservateurs ...) comme si le naturel reprenait ses droits ! 

  Si nous avons vu dans un premier temps que la décroissance soulève interrogations et réserves, nous nous sommes rendus compte dans un second temps que la décroissance est bien en marche, qu'on le veuille ou non ! Aujourd'hui, le temps n'est plus à la culpabilisation mais à la responsabilisation. Alertés par les scientifiques, les dirigeants des pays du monde entier ont pris peu à peu conscience qu'ils étaient tous responsables de l'état de la Terre.

  Les adeptes de la décroissance ont pour slogan : "moins de bien et plus de liens".
Cette idéologie de la décroissance séduirait-elle davantage par la qualité de vie induite que par ses contraintes ?  Pour Paul Ariès, fondateur du journal "La Décroissance", les problèmes environnementaux sont même une chance : ils nous incitent à réinventer nos modes de vie et de communication afin de retrouver le chemin de l'épanouissement ...


 

 

 



Créer un site
Créer un site